Test – Razer Basilisk V3 Pro 35K : Encore plus efficace ?
Il y a environ deux ans, nous testions la Basilisk V3 Pro première du nom. Aujourd’hui c’est la nouvelle mouture que nous avons entre les mains, la version 35K. Quels sont les ajouts de cette dernière née et les performances sont-elles toujours au rendez-vous ? Éléments de réponses tout au long de cet article.
Contenu et design
Le packaging est très similaire à l’ancienne version avec un contenu classique. En effet, nous retrouvons tout d’abord le dongle 2.4 Ghz, avec son adaptateur permettant d’être déporté, ainsi qu’un très long câble USB-A vers USB-C.
Le design est identique en tout point, mais ce n’est pas un souci. En effet, la prise en main et les finitions étaient déjà excellentes, Razer avec tout intérêt à reprendre ça sur cette Basilisk V3 Pro 35K. Pour rappel, la souris est dotée de 11 boutons avec deux particularités. La première, c’est le bouton présent du côté gauche, au niveau du pouce. Par défaut, ce dernier est parfait pour les snipers (par exemple), car il permettra de baisser à la volée les DPI et donc gagner en précision. La seconde, c’est la roulette qui dispose de deux modes d’utilisation (le premier, classique et le second qui permet un défilement « infini »). À noter que sur cette nouvelle génération, les clics sur les côtés de la molette seront personnalisables via Razer Synapse.
Performances
Comme sa petite sœur, cette Basilisk V3 Pro 35K est entièrement manageable depuis l’application Razer Synapse 3. Que ce soit l’attribution des touches, la gestion des profils (jusqu’à cinq possibles dans cette souris), des DPI ou encore de l’éclairage, tout sera accessible très facilement. Comme mentionné précédemment, deux grosses différences sont présentes avec cette nouvelle mouture. La première est liée au capteur maison, le Focus Pro 35K qui permet d’augmenter les DPI jusqu’à 35 000. L’autre nouveauté est au niveau des mouvements latéraux sur la molette, qui sont désormais personnalisables dans l’application. Au rayon des nouveautés, nous retrouvons également les fonctionnalités suivantes :
DPI Sensivity Matcher | Permet de matcher au plus proche la sensibilité de votre souris afin d’éviter d’être trop dépaysé. |
Asymmetric Cut-off | Gérez la hauteur de détection, pratique pour les petites sensibilités ou les petits tapis de souris. |
Smart tracking | Permet, grâce à l’IA, de conserver une hauteur de détection cohérente, peu importe la surface de glisse. |
Motion Sync | Toujours grâce à l’IA permet d’améliorer la transmission d’informations entre votre souris et votre ordinateur, pour un tracking des plus efficaces. |
La dernière grosse informations à savoir c’est l’autonomie qui est grandement augmentée. En effet, la dernière version offrait jusqu’à 90 heures de longévité (sans lumière) tandis que cette Basilisk V3 Pro 35K grimpe dorénavant jusqu’à 150 heures ! Une belle augmentation, d’autant plus que le poids de la souris n’augmente pas d’un gramme, et conserve ses 112 grammes sur la balance.
Conclusion
Visuellement, cette Razer Basilisk V3 Pro 35k n’apporte rien de nouveau. Mais dans ses entrailles, de légères améliorations améliore l’autonomie, les performances ou encore la polyvalence. La marque au serpent a eu raison de conserver beaucoup de choses de l’ancienne génération, cette souris étant, pour moi, l’une des meilleures sur le marché. Pour le côté financier, le prix n’a pas augmenté et reste à 179.99€ sur le site officiel, un autre bon point.
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Résumé 179,99 €
Résumé
Visuellement, cette Razer Basilisk V3 Pro 35k n’apporte rien de nouveau. Mais dans ses entrailles, de légères améliorations améliore l’autonomie, les performances ou encore la polyvalence. La marque au serpent a eu raison de conserver beaucoup de choses de l’ancienne génération, cette souris étant, pour moi, l’une des meilleures sur le marché.
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Design - 9/10
9/10
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Prise en main - 9/10
9/10
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Performances - 9/10
9/10
Globalement
Pour
- Un tarif qui ne bouge pas
- Une prise en main toujours aussi agréable
- Une personnalisation encore plus présente
Contre
- Personnellement, j’en cherche encore ?